DSOL-CASVP : 2025, POUR DES ACTES ET DES AVANCÉES CONCRÈTES

Les agents de la DSOL-CASVP sont au cœur du service public. Leur engagement quotidien ne souffre aucun doute, mais combien de temps encore faudra-t-il attendre pour que les discours se traduisent enfin en actes ? Matériels obsolètes, primes promises mais non appliquées, postes vacants… 2025 doit être l’année du changement.

● Des équipements modernes pour des missions efficaces

L’action des agents ne peut satisfaire durablement, ni compenser toutes les défaillances du matériel.

Comment accomplir correctement nos missions avec des ordinateurs en panne, des logiciels à bout de souffle ou du matériel manquant ?

L’évidence s’impose : des outils performants et fiables sont la clé d’un service public de qualité. Des solutions concrètes, pas demain : aujourd’hui !

● Des locaux à la hauteur des attentes des usagers

Trop d’agents et d’usagers subissent des locaux inappropriés : exigus, inconfortables, inadaptés.

L’aide sociale exige respect et dignité.

Il est temps d’offrir des lieux d’accueil fonctionnels, confortables et dignes de notre mission.

● Reconnaître les agents : des actes, pas des paroles

Assez des promesses sans lendemain ! Primes de remplacement, primes IDE de nuit…

Que les engagements soient tenus.

Quant à la rémunération et aux dispositifs comme le CIA ou l’IFSE, seule une gestion transparente et équitable permettra de reconnaitre à leur juste valeur les efforts des agents.

La revalorisation du RIFSEEP, recommandée par France Stratégie pour améliorer l’attractivité des postes, doit aussi figurer parmi les priorités.

● Postes vacants : trop, c’est trop

Avec 11,6% de postes vacants (réf. RSU 2023), les services sont sous pression permanente.

Il faut recruter, et vite.

Les équipes ne peuvent plus porter seules la charge de ces absences.

● Santé et prévention : une priorité oubliée

Où est la médecine préventive ? Trop souvent absente, insuffisante, en souffrance elle-même.

Un suivi médical régulier avec des professionnels compétents est un droit, pas un luxe.

L’épuisement professionnel, quant à lui, se prévient : des organisations de travail à repenser, des dispositifs d’écoute à renforcer.

● Dialogue social : des échanges, pas des monologues

Les préavis de grève ne doivent pas être le seul moyen d’être écoutés.

L’UNSA refuse ce simulacre de dialogue social.

Écouter, c’est comprendre la réalité des agents pour, ensemble, trouver des solutions concrètes.

L’UNSA DSOL-CASVP continuera de se battre pour des conditions de travail dignes, des moyens concrets et une reconnaissance méritée. Ensemble, agissons pour que 2025 soit enfin l’année des résultats. Restons mobilisés !